Selon vos comptes Facebook et Instagram, vous avez voyagé dans les plus beaux paradis de la planète. Vous avez mangé des mets exotiques, rencontré une faune magnifique, engagé dans des cultures fascinantes, grimpé au sommet du volcan et exploré le Funderwaterworld. Vous avez des souvenirs d’une vie.
Mais vous avez aussi des souvenirs de détritus sur la plage, de mendicité d’enfants, de coraux endommagés, de pistes de ski vertes, de porteurs comme des ânes, de gens essayant de vendre un fruit pour presque rien, pas de poisson aujourd’hui, de singes enchaînés et de requins sur le marché. Pour ne citer que quelques situations qui nous font nous sentir mal, bien qu’elles soient quotidiennes.
Planifier pour la basse saison
Vous serez accueilli à bras ouverts et recevrez toute l’attention des habitants. Aidez la communauté locale à maintenir ses entreprises tout au long de l’année afin qu’elle ne soit pas obligée de se tourner vers des alternatives telles que la vente de mantarays, laisser sa famille travailler ailleurs ou la pêche destructrice.
Voici des conseils en vidéo :
Ce sont souvent les médias qui disent : N’y allez pas, saison des pluies ou des ouragans, c’est le meilleur moment pour le faire. Les destinations sont souvent aussi belles, sinon plus, à cause de toute la verdure. Dernier point mais non le moindre, c’est beaucoup moins cher aussi.
Organiser le voyage intelligemment
Choisissez un endroit plus proche de chez vous. Si vous allez loin, faites durer le voyage plus longtemps. Si vous voyagez en avion, prenez l’itinéraire le plus court et le moins escale possible (les atterrissages et les décollages sont les pires pour notre planète).
Voler pendant la journée. Le soleil freine les émissions. Choisissez un nouvel avion beaucoup moins nocif pour l’environnement. Outils: flightconnections.com pour trouver la plupart des connexions directes. Rome2Rio pour trouver différents moyens d’aller de A à B.